vendredi 11 mai 2007

Bulletin de l'APA 11 mai 07

Politique
1
La FEC appelle à de profondes réformes pour
redresser la RDC
Kinshasa, 11 mai (APA) - La
Fédération des entreprises du
Congo (FEC) patronat de la
République démocratique du
Congo (RDC) a appelé jeudi à
de profondes réformes pour rétablir
la sécurité physique et
juridique des investisseurs, et
relancer l’économie d’un pays
ravagé par la guerre et miné
par la corruption.
Dans un rapport détaillé de
la situation économique du
pays transmis au président Joseph
Kabila et au gouvernement,
la FEC constate «l’état
de délabrement généralisé du
tissu économique» mais affirme
«qu’au regard de ses potentialités,
la RDC dispose de
moyens pour sa reconstruction
».
La RDC, considérée comme
l’un des pays les plus pauvres
et les plus corrompus de la planète,
recèle d’immenses ressources
naturelles, dont 34%
des réserves mondiales connues
de cobalt, 10% des réserves
de cuivre, mais aussi de
l’uranium, de l’or et du pétrole
et abrite la deuxième forêt tropicale
primaire de la planète.
«Cette relance devrait partir
de l’intérieur du pays», meurtri
par des années de guerre
(1996-1997 et 1998-2003) et
quasiment dépourvu de voies
de communication, a estimé
Albert Yuma Mulimbi, président
de la FEC, au cours d’une conférence
de presse à Kinshasa.
«Elle passe nécessairement
par la consolidation de la paix
et de la sécurité, l’assainissement
de l’environnement institutionnel
et réglementaire, la
priorité à accorder à l’agriculture
(...), la réhabilitation des
infrastructures, la disponibilité
de l’énergie électrique et le
soutien aux initiatives privées
», a-t-il énuméré.
«Nous devons assurer
l’auto-suffisance alimentaire»
des 60 millions d’habitants d’un
pays où moins de 5% des terres
arables sont cultivées, a
souligné M. Yuma.
La relance passera nécessairement
par la création d’un
environnement favorable aux
entreprises, notamment par
«l’installation de tribunaux de
commerces indépendants»,
des aides aux petites et
moyennes entreprises, et par
la réforme d’une «justice corrompue
» qui «intervient sans
cesse dans le secteur privé».
«Il y a aujourd’hui 4 milliards
de dollars en circulation dans
le pays mais seulement 350
millions dans le circuit bancaire.
Pour ramener tout le
monde dans le secteur formel,
il faut mettre fin à l’insécurité
juridique!», a martelé M. Yuma.
Pour créer des conditions
favorables, la FEC appelle
avant tout au «respect des
lois», rappelant que plus de
80% des opérateurs du secteur
minier ne respectent pas la législation
en vigueur, «notamment
les asiatiques» qui «refusent
de se faire enregistrer
et participent à un pillage massif
» des ressources naturelles.
«La lutte contre la corruption
et la bonne gouvernance suppose
la sanction, pour mettre
fin à l’impunité. Tout cela repose
sur la volonté politique»
des autorités issues des élections
de 2006, a souligné le
patron de la FEC.
«De nombreux trafics se font
sous le parapluie d’officiers
supérieurs de l’armée. Quand
tel général en poste à une frontière
entretient la fraude douanière,
il doit être sanctionné et
immédiatement relevé», a-t-il
poursuivi.
Pour réhabiliter les infrastructures,
le patronat congolais
plaide pour l’attribution transparente
des marchés publics et
la suppression des structures
actuelles de contrôle «appuyées
par la Banque mondiale
» mais «totalement corrompues
».
La FEC appelle enfin à la privatisation,
à moyen terme, des
grandes sociétés publiques
comme la Société nationale
d’électricité ou l’Office des
transports, «qui ne remplissent
absolument pas leurs missions
».
Pour un grand patron contacté
par l’AFP, «tout le problème
est celui de la volonté
politique. Depuis la mise en
place du gouvernement (le 5
février), on ne voit rien bouger.
Notre rapport est un cri
d’alarme».
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QUOTIDIEN 8ème Année Edition n°1883 APA du 11 mai 2007 FKAL-CKAL-FBOS
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Kinshasa, 11 mai (APA) - Les
autorités de la République démocratique
du Congo (RDC),
légitimées par les élections de
2006, doivent «garantir» un espace
à l’opposition dans un
pays sortant de la guerre et en
cours de reconstruction, a déclaré
mercredi soir le représentant
de la Commission européenne
en RDC.
«L’opposition doit (...) trouver
sa juste place dans cette démocratie
naissante qui ne le
serait que de nom sans sa participation
active», a déclaré
l’ambassadeur Carlo de Filippi,
à l’occasion de la célébration
de la Journée de l’Europe.
Il a plaidé pour «un judicieux
dosage de compromis et d’exigence
» qui doit se retrouver
«dans la loi sur le statut de l’opposition
que le Parlement devrait,
entre autres, examiner en
priorité».
«C’est aux autorités congolaises
qu’il revient de garantir
cet espace à l’opposition», at-
il poursuivi, saluant «le démarrage
satisfaisant de l’Assemblée
nationale», où l’opposition
a obtenu par consensus
Les autorités doivent réformer et garantir une place à
l’opposition, selon l’ UE
deux des sept commissions
permanentes.
«Les élections, que nous
avons largement soutenues et
qui ont constitué un succès,
n’ont pas tout résolu, loin s’en
faut», a-t-il insisté, rappelant
que les autorités congolaises
étaient désormais «seules responsables
devant la population
qui les a élues».
Evoquant certains des chantiers
du «contrat de
gouvernance» présenté par le
chef du gouvernement, il a souligné
que la réforme du secteur
de sécurité restait «un objectif
prioritaire pour l’Union européenne
».
«Cette réforme des secteurs
clés constitués par l’armée, la
police et la Justice devra non
seulement consolider la stabilité
du pays et la paix mais
aussi contribuer puissamment
à en faire un Etat de droit», a
affirmé M. de Filippi.
Depuis début 2007, la RDC
a connu une série de crises
sécuritaires, au Bas-Congo
(Ouest) où la répression de
manifestations parfois violentes
a fait plus d’une centaine
de morts, dans l’est du pays où
milices et militaires congolais
sont accusés de crimes contre
les civils, et à Kinshasa, secouée
en mars par des affrontements
sanglants.
Ces combats entre l’armée
régulière du président Joseph
Kabila et la garde rapprochée
de Jean-Pierre Bemba, adversaire
malheureux du chef de
l’Etat à la présidentielle de
2006, ont fait entre 200 et 500
morts selon des sources diplomatiques
et suscité l’indignation
des ambassadeurs européens
à Kinshasa.
M. de Filippi a estimé que les
Nations unies, dont la Mission
en RDC (Monuc) voit son mandat
actuel arriver à échéance
le 15 mai, avaient «encore un
rôle à jouer» en RDC.
L’ambassadeur a affirmé que
l’UE resterait aux côtés de la
RDC pour lancer les grands
chantiers de la reconstruction,
rappelant l’«augmentation très
substantielle de son aide au
développement entre 2008 et
2013", qui passe à 411 millions
d’euros alors que l’enveloppe
initiale était de 220 millions.
Kinshasa, 11 mai (APA) - La
présidence du Sénat en République
démocratique du Congo
(RDC) paraît acquise, à la
veille du vote, à un proche du
président Joseph Kabila, après
le retrait de la candidature d’un
autre candidat de la majorité,
a-t-on appris jeudi de source
parlementaire.
Mgr Pierre Marini Bodho,
président sortant du Sénat et
membre de l’Alliance de la
majorité présidentielle (AMP)
de M. Kabila, a retiré mercredi
La présidence du Sénat acquise à un proche
du Président Kabila
sa candidature à la présidence
du Sénat, à la suite d’une réunion
avec les cadres de la
plate-forme politique du président.
«Après de longs échanges
avec les plus hautes instances
du pays, Mgr Marini a choisi de
retirer sa candidature, au profit
du candidat officiel de
l’AMP», a déclaré un proche
de Mgr Marini.
Ce retrait devrait assurer à
Léonard She Okitundu, ancien
directeur de cabinet du président
et candidat officiel de
l’AMP, une élection facile à la
tête de la chambre haute.
Il n’aura comme adversaire
que le candidat indépendant
Léon Kengo wa Dondo, qui fut
Premier ministre sous le régime
du maréchal Mobutu
Sese Seko.
M. Kengo, un natif de l’Equateur
fait figure d’outsider et
pourrait rassembler les voix de
l’opposition, notamment celles
du parti du sénateur Jean-
Pierre Bemba, qui détient 21
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Kinshasa, 11 mai (APA) - Plus
de 5. 000 déplacés du territoire
de Dungu, dans le Haut Uélé,
en Province Orientale, ne peuvent
pas regagner leurs villages
à cause de l’insécurité
créée par les rebelles ougandais
de l’Armée de Résistance
du Seigneur (LRA), ont affirmé
groupe de députés provinciaux,
originaires de cette partie du
pays, cité par rapporte radio
Okapi.net
Les villages de Kukudu,
Nakale et Wilibadi concernés
par le retour de ces personnes.
sont occupés par les éléments
LRA.
Pourtant Norbert
Samaki, député provincial et
originaire du territoire de
La LRA empêche plus de 5 000 déplacés de
rentrer chez eux
Dungu, a indiqué que l’Assemblée
de la Province Orientale,
le ministre de l’Intérieur ainsi
que son collègue de la Défense
sont informés de la situation.
«Ces gens voudraient rentrer
dans leurs villages d’origine.
Déjà mon collègue Ferdinand
Sangbolenji, il y a un mois,
avait exposé cela ici au parlement
provincial. Même le ministre
de l’Intérieur et celui de
la Défense m’ont trouvé à Isiro
le 18 avril dernier. Le Commissaire
de district leur a remis un
rapport en ma présence à l’aéroport,
ils sont saisis.»
L’administrateur du territoire
de Dungu a affirmé que
ces personnes veulent regagner
leurs villages. Interrogé,
Léandre Builu a plaidé pour
l’implication du gouvernement
de la République : «La LRA,
c’est un groupe armé. Il n’y a
personne qui peut oser aller làbas.
Voilà pourquoi nous demandons
au gouvernement de
la République de peser sur les
négociations qui se déroulent
entre la LRA et le gouvernement
ougandais, pour qu’une
solution soit trouvée, que la
LRA quitte la région et que nos
populations regagnent leurs
terres», a-t-il dit.
A Kisangani, le commandant
de la 9e région militaire
des FARDC, général major
Padiri Bulenda répond qu’il
ignore cette situation.
sièges au sein de la coalition
d’opposition de l’Union pour la
Nation (UN).
Toutefois, le rapport de force
au sein du Sénat, où l’AMP
détient la majorité absolue, ne
laisse guère de suspense pour
cette élection, prévue vendredi.
Dix-huit autres candidats briguent
les postes de vice-président,
rapporteur et questeur
du bureau du Sénat.
Le camp Kabila domine la
totalité des institutions issues
des élections de 2006 et début
2007 en RDC, pays qui sort
d’une longue transition politique
entamée en 2003 après
une guerre de près de cinq
ans.
Kinshasa, 11 mai (APA) – La
plénière prévue jeudi à l’Assemblée
nationale a été reportée
à mardi prochain, a constaté
sur place l’APA.
Cette plénière avait notamment
à son ordre du jour la
répartition des matières du calendrier
de la session de mars
aux 7 commissions permanentes,
la validation des mandats
et l’audition des rapports des
commissions parlementaires
d’enquête dépêchées au Bas
Congo et à Kahemba, dans le
Bandundu.
Le président de l’Assemblée
nationale, Vi tal
Kamerhe, a réuni mercredi
Report à mardi de la plénière prévue jeudi à
l’Assemblée nationale
soir, en conférence les présidents
des groupes parlementaires
et des commissions permanentes
afin de préparer
cette plénière qui s’annonce
«houleuse», en raison notamment
des points sensibles inscrits
à son ordre du jour.
Il s’agit de la validation
des mandats qui risque de susciter
un débat très vif, au regard
de la liste définitive des
députés publiée par la Cour
suprême de justice (CSJ), publication
jugée hors délai par
ceux qui n’ont pas été retenus..
Les rapports des commissions
parlementaires sur
les événements meurtriers du
Bas-Congo en début de l’année
et sur le conflit frontalier entre
l’Angola et la RDC dans le territoire
de Kahemba, au
Bandundu, n’en demeurent pas
moins des sujets qui susciteront
également un débat vif
lors de la même plénière.
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Kinshasa, 11 mai (APA)- Le Président-Directeur général du groupe CONGO-Futur, M.
Ahmed Tajideen, a fait visiter dernièrement le chantier de son immeuble de douze
étages situé sur le boulevard du 30 juin à M. Pascal Kinduelu, Président-Directeur général
de la Banque internationale de crédit (Bic). et Président honoraire du patronat
congolais (FEC).
A l’issue de cette visite, les deux personnalités se sont déclarés très satisfaites
de l’état d’avancement des travaux de cet immeuble qui abritera la direction générale
de CONGO-Futur, comptera soixante appartements et autant de bureaux à louer, avec
un parking à deux niveaux, lesquels ont une capacité d’accueil de soixante véhicules.
La fin des travaux de construction de cet immeuble, selon M. Ahmed Tajideen est pour
bientôt. La rareté du ciment connue dans le pays, aurait retardé l’échéance. D’ici
décembre 2007, l’immeuble sera fin prêt, assure la source.
Le Pdg de CONG0-Futur a révélé à l’APA qu’un projet du groupe, tendant à embellir
la ville de Kinshasa par l’érection d’un deuxième gigantesque immeuble à 22
étages au niveau de l’arrêt Batetela dans la commune de la Gombe sera bientôt en
exécution.
Il a indiqué qu’il rendra public le coût de réalisation de l’immeuble du 30 juin à
l’occasion de son inauguration après la fin des travaux de son érection.
Par ailleurs, le PDG de CONGO-Futur s’est dit très satisfait de la naissance d’un
Etat de droit en République démocratique du Congo (RDC) afin qu’il investisse davantage
dans ce pays devenu sa seconde patrie. Il a affirmé son attachement à la RDC où il
a donné du travail à plus de 1600 agents et cadres, et d’ici la fin de l’année en cours,
cet effectif passera à 5000 unités.
A une autre question relative à un acte discourtois d’un sujet libanais à l’endroit
du ministre de l’Information, M. Ahmed s’est dit choqué et a condamné ce comportement,
bien qu’il ne dispose pas des informations précises à ce sujet.
S’agissant de l’ensemble des activités de son groupe, CONGO-Futur, M. Ahmed a
retracé son historique avant de relever des actions à entreprendre.
-Afin de répondre à l’appel lancé en direction des opérateurs économiques de la République
Démocratique du Congo (RDC) par le Gouvernement après la prise de pouvoir par
le Président Laurent-Désiré KABILA, CONGO FUTUR Sprl s’est impliqué dans l’importation
et la commercialisation des produits secs, congelés et divers. C’est ainsi que CONGOFUTUR
Sprl, une entreprise de droit congolais s’est spécialisée dans l’importation,
l’industrie de transformation et la commercialisation des produits alimen,taires de base
dont des : Vivres frais congelés (poissons, viande, poulet…) et
secs (riz, farine de froment, sucre, sel…)
-Aujourd’hui, grâce à l’esprit d’ouverture économique initié par Son Excellence Monsieur
le Président de la République, le Général-Major Joseph Kabila et son Gouvernement
; l’entreprise a été encouragé à étendre et à promouvoir ses activités tant à
Publi-reportage
CONGO-Futur déterminé à embellir la ville de Kinshasa
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Kinshasa qu’à l’intérieur du pays, à aider et à soutenir le Gouvernement dans son plan
de relance économique et de la reconstruction du pays.
-CONGO FUTUR Sprl dispose d’installations frigorifiques et de dépôts de grande capacité
de stockage à Matadi et à Kinshasa. Son investissement relativement important ne
se limite pas aux installations de stockage mais s’étend également dans le domaine de
transport où l’entreprise dispose d’un charroi automobile important pour le transport
de ses produits du port de Matadi dans la province du Bas-Congo jusqu’à Kinshasa.
Parmi ses autres investissements, il y a :
- l’Usine d’oxygène,
-l’Industrie plastique,
-la Biscuiterie moderne,
- Les Matériaux de construction
Dans le cadre du Code d’investissement en République Démocratique du Congo, un
projet d’investissement présenté par la Société TRANS-M Sprl (Filiale du Groupe CONGO
FUTUR Sprl) est agréé au bénéfice des avantages du Régime unique de ce Code.
La nature du projet n’est autre que l’acquisition des équipements et matériels forestier
en vue d’implanter à BUMBA, dans la province de l’Equateur, un chantier de coupe des
bois et à Kinshasa, une scierie moderne industrielle dont les objectifs de production
sont :
-L’exploitation de grumes et de bois sciés ;
-La production annuelle de croisière de :
-10.200 m3 des grumes pour l’export,
-4.760 m3 des bois sciés pour l’export ainsi que
-4.760 m3 des bois sciés pour la vente locale
Extension
Le Groupe CONGO FUTUR Sprl dispose des extensions à Kinshasa, Matadi, Boma, Kikwit,
Befale, Muanda, Mbuji-Mayi, Kisangani, Bumba et Mbandaka.
Autres activités
CONGO FUTUR Sprl soutient certaines initiatives à caractère socioculturel.
Elle sponsorise des carrefours de jeunes, des séminaires, des rencontres sportives,…tout
en apportant un appui aux ONG locales.
CONGO FUTUR a mis à la disposition de la population kinoise et ses environs, deux bus
de transport en commun dénommés « YA OFELE » pour soulager tant soit peu l’épineux
problème de transport en commun qui se pose toujours avec acuité dans la capitale
congolaise.
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Société
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Kinshasa,11 mai (APA)-Le
Collectif des femmes actrices
de développement et de défense
des droits de l’enfant et
de la mère en Afrique
(Colfadhema) a clôturé mercredi
le séminaire de restitution
du plan de la mise en oeuvre
de la Convention sur l’élimination
de toutes formes de discrimination
à l’égard de la
femme (Cedef), au Grand Hôtel
Kinshasa.
Ces travaux ont été
consacrés à l’étude des voies
et moyens pour l’application
effective de la Cedef en RDC.
Le Réseau genre du
Parlement, partenaire du
Colfadhema, a invité les députés
et les sénateurs à plaider
en faveur de la société civile
pour l’élaboration et l’adoption
d’une loi portant protection
des droits de la femme en Rdc.
Restitution du plan de la mise en oeuvre de
la Cedef en RDC
Le Programme
des nations unies pour le développement
(Pnud), qui a un
programme sur la parité
homme-femme apporte un appui
au projet d’une telle loi au
Parlement congolais.
La présidente du réseau
de parité homme - femme
au Parlement, Adèle Kayinda
Mahina, a montré aux participants
l’importance de l’inclusion
d’une disposition pour la
Cedef dans la Constitution de
la RDC.
La Cedef est une Convention
ratifiée en 1979 par la
Commission des Nations unies
pour les droits de l’homme,
pour la protection de la femme.
Elle est entrée en vigueur en
1986. La Rdc figure sur la liste
des pays qui l’ont ratifiée.
Dans son mot de circonstance
, Mme Annie Atibu
Faray, présidente de
Colfadhema a laissé entendre
que la Cedef est un acquis et
que le développement de « notre
» société dépend du niveau
de l’instruction de la mère ,car,
d i t -t-on ,:« éduquer une
femme , c’est éduquer une nation
» .
La présidente du Réseau
genre au Parlement a
donné un éclairage sur la procédure
à suivre pour l’inclusion
de la Cedef dans la Constitution
de la RDC.
Elle a recommandé :la
transmission des copies pour
information au ministère de la
Condition féminine et Famille
,au ministère des Affaires
étrangères pour la convocation
d’une plénière appelée à examiner
les projets de lois de la
Cedef pouvant être insérés
dans la Constitution de la RDC.
Kinshasa, 11 mai (APA) – Les
cours sont suspendus au Complexe
scolaire Lukolela à Kikwit
dans la province du Bandundu
à la suite d’une bagarre entre
les élèves d’établissement
scolaire de Lukolela et ceux de
l’Institut Ndungi dans la commune
de Lukolela après un
match du championnat local
interscolaire de hand-ball. 19
blessés, ont été déplorés, se-
Suspension des cours après échauffourées au SC
Lukolela à Kikwit
lon un bilan donné par
radiookapi.net, précisant que
la mesure de suspension des
cours a été prise par le maire
de Kikwit.
Un match de hand-ball
du championnat local
interscolaire a opposé les deux
écoles. Les élèves du complexe
scolaire de Lukolela vainqueur
de la rencontre, sont
descendus le lendemain chez
les perdants de l’institut
Ndungi. Les deux parties se
sont affrontées par un échange
de jets de pierres.
La police a tenté en
vain de maîtriser la situation.
Il a fallu l’intervention personnelle
du commandant de la
1ère région militaire, accompagné
de quelques éléments des
FARDC, pour que les esprits se
calment, indique la source..
Kinshasa, 11 mai (APA) -Une
commission conjointe EUSEC
(mission de conseils et d’assistance
en matière de réforme du
Plus de 300 militaires FARDC s’adonnent à la
production du bois au Katanga
secteur de la sécurité de
l’Union européenne)-FARDC a
visité mercredi le bataillon de
production du bois des FARDC
à Divuma, au Katanga dans le
district du Lualaba. Divuma
constitue l’une des étapes de
cette mission chargée de faire
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l ’ é tat des lieux des unités
FARDC au Katanga, rapporte
radiookapi.net
A Divuma, dans le territoire de
Dilolo, la 6e région militaire
avait déployé un bataillon de
plus de 300 militaires FARDC
en 2001, composé en majorité
de militaires en âge avancé qui
a pour mission de produire du
bois à Divuma.
Le commandant du bataillon
de production a indiqué
que la première évacuation du
bois a eu lieu en 2004. Et depuis,
le camion qui avait acheminé
ce produit à Lubumbashi
n’est jamais retourné à
Divuma. Le commandant a
aussi fait savoir que 298 grumes
traînaient dans la forêt
depuis une année, faute de
moyen de transport. Les militaires,
eux, se sentent abandonnés.
Ils s’adonnent à l’agriculture
pour survivre avec leurs
familles. Les officiers du bataillon
de production ont fait
part à la délégation mixte
’Union européenne-FARDC de
leurs difficultés.
Cette délégation mixte
a pour mission de récolter des
informations sur les effectifs
des unités FARDC basées au
Katanga et le matériel à leur
disposition. Après Divuma, la
délégation devait se rendre
jeudi à Kolwezi puis à
Fungurume pour une mission
analogue.
7
Kinshasa, 11 mai (APA) - Un
groupe d’enfants de la rue a
agressé mardi soir un soldat au
marché de Muhanzi. Ce soldat
voulait protéger une femme qui
avait son panier de provisions.
Ce cas et bien d’autres encore
illustrent l’ampleur du phénomène
enfants de la rue à Bukavu,
chef-lieu de la province
du Sud-Kivu rapporte
radiookapi.net.
Selon Jean Baptiste
Isangi, administrateur du marché
de Muhanzi, les Maibobo
(appellation des enfants de la
rue) se présentent en grand
nombre de 17 heures à 19 heu-
Retour en force du phénomène enfants de la rue
à Bukavu
res. «Et quand ils viennent ici,
ils arrachent les sacs à main,
des téléphones, comme le cas
que nous avons connu hier
soir. Un Maibobo voulait arracher
un sac à main à une dame
autour de 19 heures. Un militaire
est intervenu. Le Maibobo
a crié au secours et c’est toute
l’équipe qui est descendue
pour agresser le militaire qui a
résisté, et amené le Maibobo
à la police, d’où celui-ci il s’est
enfui», a-t-il dit..
Murabazi Namegabe, responsable
d’une ONG de protection
de l’enfance, soutient que ce
phénomène concerne les vagabonds
et non pas les enfants
récupérés par des ONG. Néanmoins,
un groupe d’éducateurs
de la rue et la police ont été dépêchés
sur les lieux pour s’occuper
de ces enfants.
Le maire adjoint de Bukavu
reconnaît, lui aussi, l’ampleur
du phénomène enfants
de la rue et invite tous les acteurs
sociaux à proposer une
solution concertée. Il s’engage
à identifier les parents de ces
enfants qui, selon lui, fuiraient
leur responsabilité.
Kinshasa 11 mai (APA) – Le
premier colloque international
sur la problématique l’eau en
République démocratique du
Congo (RDC) s’est poursuivi
jeudi avec des travaux en plénière,
a constaté l’APA.
Selon le professeur Edmond
Eskenazi, directeur-administrateur
de l’institut supérieur
des techniques de l’eau
(ISTE), une association sans
but lucratif spécialisée dans la
question liée au traitement
d’eau, il y a lieu de noter dans
Poursuite d’un colloque sur la problématique de
l’eau en RDC
la collaboration entre les autorités
congolaises et sa structure,
une contribution efficace,
l’assainissement en vue de
l’obtention de l’eau potable par
la majorité des Congolais ainsi
que l’épuration des eaux
usées.
« L’ISTE évolue en faveur
de tous les pays , spécialement
africains », a-t-il déclaré,
avant d’indiquer qu’il y a
possibilités d’établissement de
contacts privilégiés, d’initiation
et de participation à des projets
concrets.
Pour le directeur administrateur
de L’ISTE, la RDC
possède des ressources hydriques
convenables, ce qui lui
permet d’avoir aujourd’hui le
2ème fleuve du monde de par
son débit. « Compte tenu de
l’exploitation massive de l’eau
de surface (66 % de la production
totale), la Regideso est
obligée de passer par la phase
de traitement nécessaire pour
rendre l’eau potable.
Les travaux en plénière
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QUOTIDIEN 8ème Année Edition n°1883 APA du 11 mai 2007 FKAL-CKAL-FBOS
au premier colloque international
sur la problématique de
l’eau en RDC ont développé
plusieurs sous-thèmes tels
que «évaluation des réserves
et de la vulnérabilité des eaux
souterraines dans la région de
Kinshasa» ; «perspective de
l’évolution de la ressource en
eau de la RDC dans le contexte
des chargements climatiques
en cours» ; « principes de réalisation
d’une liaison fluviale
Kinshasa Océan» ; « pratique
de l’air lift en hydraulique rurale
», notamment.
Par ailleurs, les assises
sur la problématique de l’eau
en RDC (CIPE) a débuté mardi
dernier sous le thème central :
« gestion durable de la ressource
eau du Bassin du fleuve
Congo (BFC) ; gestion intégrée,
sciences, jeux et en jeu
géostratégiques au vingt et
unième siècle», rappelle-t-on.
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Kinshasa, 11 mai (APA)- Une
jeune fille de 23 ans a tué son
bébé une heure après l’accouchement
après avoir tenté à
maintes reprises d’avorter, a
constaté jeudi l’APA au quartier
Pétro-Congo, dans la commune
de Masina.
La fille qui avait réussi
à dissimuler sa grossesse à
son entourage, y compris ses
parents, a été surprises par sa
soeur cadette au moment où
elle tentait d’étouffer les premiers
cris du jeune bébé ( gar-
Une fille mère tue son bébé après l’échec d’avortement
çon) qu’elle venait de mettre au
monde.
Peu auparavant, elle
avait quitté ses frères et soeurs
au salon sous prétexte d’aller
se reposer dans sa chambre
pour se remettre d’un malaise
qu’elle ressentait.
Attirés par les cris du
nouveau –né, ces frères ont
cherché à savoir ce qui se passait
dans la chambre où seule
la soeur cadette a pu accéder .
Ahurie de voir sa soeur aînée
avec un sac dans lequel elle
venait d’emballer l’enfant pour
l’étouffer ou le jeter dans une
décharge, la seour cadette a
crié en annonçant la naissance
d’un bébé.
Affolée, la jeune mère
a projeté le nouveau-né contre
un mur, tuant ainsi l’enfant.
Les frères de la criminelle
se sont rués sur elle et
l’ont battue violemment avant
d’appeler la police. Celle-ci est
arrivée sur le lieu alors que la
meurtrière venait de prendre le
large par la fenêtre.
Kinshasa, 11 mai (APA) – Une
jeune fille, Sylvie, est morte de
suite d’un avortement au quartier
Libération, dans la commune
de Kisanso.
La cause de cet avortement
est la prise d’un mélange
des médicaments modernes
et traditionnels par
celle-ci. Commencé depuis
longtemps cette cure, ce n’est
que mercredi soir que Sylvie
sous une crise aura été ache-
Une jeune fille morte de suite d’un avortement à
Kisenso
minée dans un centre de santé
le plus proche où elle trouvera
la mort.
L’information s’est propagée
dans le quartier et le
chef du quartier saisi, dépêchera
une mission d’enquête
conjointe avec la police sur le
lieu du drame pour constater le
fait.
Selon une habitante
trouvé sur place, cette fille
Sylvie est une récidiviste en
cette matière. L’avortement,
pour elle, est devenue couturière,
car elle a été même baptisée
par des tiers d’un sobriquet
: « EKOTI EBIMI », souligne-
t-elle.
Les parents de Sylvie
refusent de venir sur le lieu du
drame, pour des raisons qui
leur sont propres. Car pour
eux, cette enfant n’écoute jamais,
et comme salaire à
entêtemet c’est la mort.
La nouvelle vision du CIDEP, selon son recteur
Kinshasa, 11 mai (APA) – Le
recteur du Centre interdisciplinaire
pour le développement et
l’éducation permanente
« CIDEP », le professeur Dieudonné
Kalindye Byanjira a défini
dans un entretien avec
l’APA, la nouvelle vision du
CIDEP université ouverte
(CIDEP-UO) dont la mission
est d’offrir un enseignement
supérieur universitaire aux
adultes en cours d’emploi et
ceux qui sont dans les activités
informelles selon les besoins
des apprenants.
Le CIDEP est une université
ouverte au peuple, aux
places, aux méthodes et aux
idées, a-t-il affirmé, ajoutant
qu’en tant qu’univers des
sciences, ce centre recourt aux
techniques modernes d’enseignement
comme les massmédia
et aux nouvelles technologies
de l’information et de la
communication.
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QUOTIDIEN 8ème Année Edition n°1883 APA du 11 mai 2007 FKAL-CKAL-FBOS
Il a indiqué que cette
université ouverte a connu huit
réformes depuis sa création en
1972, précisant que les six arrêtés
ministériels que le ministre
a pris dernièrement ont permis
de combler le vide juridique
et de renforcer les capacités
institutionnelles, consolider
les missions, les objectifs, les
cycles d’études, les programmes
et l’adaptation de la nouvelle
structure organique.
Ces réformes sont motivées
pour renforcer les besoins
en formation de la population
congolaise en cours
d’emploi adapter et intégrer le
CIDEP-UO dans une université
ouverte, conformément à la vision
universelle moderne de
l’éducation permanente, a-t-il
déclaré.
L’objectif visé de cet
univers des sciences, est de
faire du CIDEP-UO, l’université
de proximité à l’intention des
personnes éloignées socio logiquement
et géographiquement
des établissements de
l’enseignement supérieur et
universitaire.
Le recteur du CIDEP a
affirmé que les étudiants qui
terminent leurs études dans
son institution sont sanctionnés
par un diplôme de graduat,
de licence, diplôme d’études
approfondies et de doctorat,
indiquant que chaque cycle a
plusieurs filières dont les enseignements
à distance sont
Kimbuta prend l’engagement de mettre en application
les résolutions de Nganda
posé la réhabilitation et la
construction des infrastructures
de santé, l’aménagement
des voies d’accès aux centres
de santé, la réhabilitation des
brigades d’assainissement, la
destruction des constructions
anarchiques, la censure des
chansons et danses obscènes,
la relance de campagne citoyenne
(…).
De son côté, le président
du comité d’organisation,
le Père Martin Ekwa, a, dans
son mot de clôture, invité les
dirigeants et les dirigés à être
humbles afin que les objectifs
du Centre Nganda puissent
triompher.
Kinshasa, 11 mai (APA) – « Je
prends l’engagement solennel
de mettre en application toutes
les résolutions qui viennent de
sanctionner les travaux des
premiers états généraux de la
ville de Kinshasa axés sur la
recherche des voies et moyens
pour le développement de la
capitale congolaise », a déclaré
le maire de la ville de
Kinshasa, André Kimbuta
Yango, lors de la cérémonie de
clôture de ces assises qui se
sont tenues du 8 au 10 mai, au
Centre Nganda, dans la commune
de Kintambo.
Il a, par la même occasion,
annoncé la mise sur pied
d’un comité de suivi de ces
états généraux qui aura pour
tâche d’assister l’autorité urbaine
à appliquer toutes les
résolutions prises au cours de
ces assises.
Il s’est félicité de la
qualité du travail abattu par les
participants à ce forum qui ont
prouvé à suffisance leur capacité
de réfléchir ainsi qu’à trouver
des solutions adéquates à
tous les problèmes de la ville
de Kinshasa, a-t-il indiqué. Il a
invité tout le monde à s’impliquer
efficacement à la réussite
de ce programme du gouvernement
provincial.
Dans les gerbes de recommandations,
les participants
à ces assises, ont proégalement
organisés avec des
matériels appropriés par la radio,
la télévision, l’Internet,
conférences ou d’autres
moyens adéquats de technologie
moderne.
A propos des autres
activités organisées par le
CIDEP, il a précisé qu’il existe
un centre pour autodidactes
des examens d’Etat, vulgarisation
des résultats de recherches
par la diffusion de la revue
de l’université ouverte, organisation
de la formation des
formateurs du CIDEP-UO et de
la recherche scientifique ainsi
que la validation des acquis de
l’expérience
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Economie
Kinshasa, 11 mai (APA) –
Près de quatre milliards de dollars
américains circulent hors
du circuit bancaire en République
démocratique du Congo
(RDC), a déclaré M.Albert
Yuma Mulimbi, président national
de la Fédération des entreprises
du Congo (FEC), lors
d’un point de presse tenu jeudi
à Kinshasa.
«Près de quatre milliards
de dollars américains
n’entrent pas dans le circuit
bancaire normal », a déclaré
Albert Yuma, indiquant que 350
millions seulement s’y trou-
Près de 4 milliards Usd hors du circuit bancaire en RDC
vent.
Albert Yuma a souligné
que dans le document sur l’état
des lieux de l’économie congolaise,
la FEC propose un partenariat
tout à fait constructif
avec les pouvoirs publics.
Rendu public depuis
mars dernier, ce document de
la Fédération des entreprises
du Congo (FEC) note qu’il n’y
a pas de développement au
vrai sens du terme sans associer
le secteur privé dans les
affaires nationales, relevant
que près de 400 entreprises
minières ont signé un contrat
avec l’Etat congolais, mais ne
respectent pas les règles
d’éthique dans les affaires.
Au le chapitre relatifs
aux dettes intérieures, spécifiquement
concernant l’Etat visà-
vis de la FEC, la Banque
mondiale (BM) a voté une enveloppe
de 180 millions de dollars
Usd, dont 53 millions affectés
tout simplement vers la
rubrique « dette intérieure »,
signalé la FEC
Le document de la FEC
a été remis jeudi au président
de l’Assemblée nationale.
Bruxelles, 11 mai (AFP/APA)
- La Commission européenne
a autorisé jeudi les autorités
françaises à octroyer une aide
de 37,6 millions d’euros à un
programme de recherche et
développement sur la diffusion
de la télévision sur les téléphones
mobiles.
Le projet en question, baptisé
Télévision Mobile Sans Limite,
est coordonné par la filiale
française d’Alcatel-Lucent
et associe dix partenaires (trois
organismes de recherche et 7
entreprises).
Les travaux ont commencé
le 1er mai 2006 et
s’étendront sur trois ans.
D’un montant total de 98,4
millions d’euros, il prévoit de
développer une nouvelle solution,
combinant satellite et réseau
terrestre, pour diffuser de
Télé sur GSM: Bruxelles autorise la France à aider
un projet de recherche
la télévision sur les téléphones
mobiles.
Ce nouveau système, qui
devrait être opérationnel en
2009, se distinguera par le
nombre de chaînes qu’il pourra
diffuser, par la qualité de la réception,
notamment à l’intérieur
des bâtiments, et par sa
couverture géographique étendue.
En outre, il devrait intégrer
un service de gestion de crise
qui permettra aux autorités
d’alerter rapidement la population
en cas de catastrophes
majeures telles que des tremblements
de terre ou des attaques
terroristes.
Cette aide de 37,6 millions
d’euros sera versée par le biais
de l’Agence française de l’innovation
industrielle (AII), à
hauteur de 16,1 millions en
subventions et de 21,5 millions
d’euros d’avances remboursables.
Créée en août 2005, cette
agence a pour mission de sélectionner
et soutenir de
grands projets industriels et
technologiques à l’instar de
grands pays industrialisés
comme le Japon ou les Etats-
Unis.
En juillet 2006, la Commission
avait validé le régime
d’aides de l’AII.
Mais, pour éviter toute
distorsion de concurrence, les
aides d’un montant supérieur à
5 millions d’euros prévues pour
le financement de programmes
de plus de 25 millions d’euros
doivent toujours être notifiées
à la Commission individuellement.
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Monde
Trimdom (Royaume-Uni), 11
mai (AFP/APA) - Après dix ans
au pouvoir, Tony Blair a annoncé
jeudi qu’il allait quitter
ses fonctions de Premier ministre
britannique le 27 juin.
«Le parti (travailliste) va
maintenant désigner un nouveau
leader. Le 27 juin, je présenterai
ma démission de Premier
ministre», a-t-il déclaré
sous les applaudissements.
Son départ aura lieu une fois
désigné son successeur, très
probablement son ministre des
Finances, Gordon Brown.
M. Blair avait choisi de faire
son annonce depuis le village
de Trimdon, la bourgade du
Nord-Est d’où il avait lancé le
11 juin 1994 sa campagne pour
devenir chef du parti travailliste,
dans sa circonscription
électorale de Sedgefield.
«Je suis revenu là où mon
parcours politique avait commencé,
et où il se terminera»,
a-t-il dit.
M. Blair, 54 ans, avait en début
de matinée confirmé sa
décision à ses principaux ministres.
Cette déclaration ne déclenchera
pas d’élections antici-
Tony Blair annonce son départ pour le 27 juin, après
dix ans au pouvoir
pées.
Le parti travailliste va désigner
son nouveau dirigeant
lors d’une procédure interne
qui devrait durer sept semaines,
et ce nouveau leader deviendra
automatiquement Premier
ministre jusqu’aux prochaines
élections législatives
prévues en 2009 ou 2010.
Le Premier ministre est en
effet au Royaume Uni le leader
du parti majoritaire à la Chambre
des Communes.
L’annonce de M. Blair intervient
dans la foulée d’un de ses
succès majeurs : la remise en
route mardi du gouvernement
nord-irlandais, où cohabitent
désormais protestants et catholiques,
avec comme Premier
ministre le protestant Ian
Paisley.
Mais cinq jours plus tôt, son
parti avait subi de sérieux revers
aux élections locales et
régionales.
Son annonce de départ
sonne en Grande-Bretagne la
fin d’une époque marquée par
une croissance économique
ininterrompue, mais aussi par
la guerre en Irak, sur laquelle
il a perdu la confiance des Britanniques.
Elle n’est en rien une surprise,
seule y manquait la date
précise.
Il y a exactement 952 jours,
le 1er octobre 2004, M. Blair
avait en effet annoncé qu’il ne
briguerait pas de quatrième
mandat, avant même la troisième
victoire successive de
son parti aux législatives - du
jamais vu.
Son rival et probable successeur
Gordon Brown, 56 ans, a
largement contribué à faire
avancer son départ, en orchestrant
un mini-coup au sein du
Labour qui, en septembre dernier,
a obligé M. Blair à annoncer
qu’il serait parti d’ici à un
an.
A l’heure du bilan, les Britanniques,
qui l’avaient porté au
pouvoir dans un raz-de-marée
en 1997, jugent sévèrement les
années Blair.
Ils lui sont à peine gré de la
croissance ininterrompue depuis
dix ans qui a largement
enrichi le pays, du faible taux
de chômage ou des vastes réformes
dans les services publics
(santé, éducation).
Paris, 11 mai (APA) - Le président-
élu français, Nicolas
Sarkozy, doit rencontrer vendredi
le Premier ministre britannique,
Tony Blair, et pourrait
s’entretenir, dès le 16 mai avec
la chancelière allemande,
Angela Merkel, a-t-on appris
dans son entourage.
«M. Sarkozy rencontrera M.
Sarkozy voit Blair vendredi, envisage de rencontrer
Merkel le 16 mai
Blair vendredi en fin d’aprèsmidi
», a affirmé à l’AFP Claude
Guéant, son ancien directeur
de campagne.
M. Sarkozy doit également
rencontrer la chancelière allemande,
Angela Merkel, à une
date qui n’a pas encore été
définitivement arrêtée. Mais,
selon M. Guéant, le 16 mai est
«sérieusement envisagé».
Dans ce cas, M. Sarkozy partirait
pour Berlin dans l’aprèsmidi,
juste après la cérémonie
de passation des pouvoirs avec
le président sortant, Jacques
Chirac.
Par ailleurs, M. Sarkozy projette
une formation «très rapide
» d’un gouvernement, qui
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pourrait intervenir dès le 17
mai, ont indiqué jeudi des députés
de son parti UMP.
Au cours d’une réunion jeudi
matin avec les députés UMP à
l’Assemblée nationale, M.
Sarkozy a assuré que ce gouvernement
«ouvert» comprendrait
des personnalités de gauche
et du centre, selon des
participants.
M. Sarkozy, élu dimanche
face à la socialiste Ségolène
Royal, a expliqué qu’il allait aller
«vite».
Sarkozy nommera son Premier
ministre le 17 mai
Le nouveau président français
Nicolas Sarkozy annoncera le
nom de son Premier ministre le
17 mai, au lendemain de sa
prise de fonction officielle et de
la passation de pouvoirs avec
Jacques Chirac, a indiqué jeudi
son ancien directeur de campagne,
Claude Guéant.
«Nicolas Sarkozy annoncera
le nom de son Premier ministre
le 17 mai», a affirmé M.
Guéant à l’AFP.
Quant au gouvernement, il
pourrait être annoncé «soit en
fin de semaine, soit le lundi
suivant», a-t-il précisé.
François Fillon, conseiller
politique de Nicolas Sarkozy et
ancien ministre (Affaires sociales
et Education), est donné
comme favori pour le poste de
Premier ministre.
M. Sarkozy continuait jeudi
de travailler sur la composition
du futur gouvernement, depuis
son bureau provisoire à Paris
où de nombreuses personnalités
se sont rendues dans la
matinée.
Ce gouvernement resserré
de 15 membres respectera la
parité hommes-femmes, avait
promis M. Sarkozy avant son
élection dimanche.
Ankara, 11 mai (AFP/APA) -
Le parlement turc s’est réuni
jeudi pour voter une deuxième
fois une réforme controversée
de la constitution prévoyant
l’élection du président au suffrage
universel, après l’échec
essuyé par le candidat du parti
au pouvoir lors du scrutin au
parlement.
Les députés devaient en
outre voter un autre amendement
à la loi fondamentale visant,
selon les observateurs, à
empêcher l’entrée au parlement
d’élus indépendants prokurdes.
Le paquet d’amendements
avait été adopté en première
lecture deux jours auparavant.
Le projet du Parti de la justice
et du développement (AKP,
issu de la mouvance islamiste),
qui détient la majorité absolue
au parlement, prévoit l’élection
du président au suffrage universel
à deux tours pour un
mandat de cinq ans
renouvelable une fois -au lieu
d’un septennat unique actuellement-.
Il prévoit en outre la tenue
d’élections générales tous les
Le parlement turc s’apprête à entériner l’élection du
président au suffrage universel
quatre ans au lieu de cinq.
En cas d’adoption, il devra
encore être soumis à l’approbation
du président sortant Ahmet
Necdet Sezer qui devrait
le rejeter, estiment les observateurs.
Si, comme en première lecture,
les députés l’adoptent
avec moins des deux-tiers des
voix (367 sur 550 députés), la
réforme sera automatiquement
soumise à un référendum.
Le président Sezer, un laïc
rigoureux qui a déjà irrité plusieurs
fois l’AKP en renvoyant
devant l’Assemblée des lois
qu’elle avait votées, a 15 jours
pour promulguer une loi ou y
mettre son veto. S’il rejette ce
projet, le Parlement devra à
nouveau voter le texte dans le
mêmes termes, le président ne
pouvant plus alors s’opposer à
sa promulgation.
Le principal parti d’opposition
(CHP) est contre cette réforme,
à l’instar de la puissante organisation
patronale Tüsiad,
estimant qu’un débat au sein
de la population est indispensable
avant de modifier les
équilibres institutionnels.
Cette réforme intervient
après deux échecs au Parlement
pour élire le nouveau président,
faute de quorum en raison
d’un boycott de l’opposition.
L’unique candidat, le chef
de la diplomatie Abdullah Gül,
s’est du coup retiré de la compétition.
La perspective de voir un
ancien islamiste comme M. Gül
accéder à la magistrature suprême
avait déclenché d’intenses
protestations des milieux
laïques, dont l’armée, qui avait
menacé dans un communiqué
d’intervenir en cas d’atteinte à
la laïcité du régime.
Pour sortir de l’impasse,
l’AKP, qui n’a pu faire élire son
candidat malgré sa majorité à
la chambre (351 ddéputés sur
550) a convoqué des législatives
anticipées le 22 juillet.
La disposition sur les candidats
indépendants vise à empêcher
l’entrée d’élus indépendants
pro-kurdes à l’Assemblée
aux prochaines élections
en compliquant la tâche des
électeurs du sud-est
majoritairement kurde du pays.
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L’Afrique en bref
13
VICTORIA - Les Seychellois ont commencé
jeudi à voter pour élire leurs parlementaires
dans un scrutin où l’opposition tente de mettre
fin à la domination exercée depuis trente ans
par un seul parti.
ADDIS ABEBA - L’Union africaine (UA) a décidé
l’envoi d’une mission «d’assistance électorale
et sécuritaire» aux Comores pour sécuriser
les élections des présidents des îles de l’archipel.
KHARTOUM - Les envoyés de l’ONU et de
l’Union africaine (UA), Jan Eliasson et Salim
Ahmed Salim, ont montré jeudi un optimisme
prudent sur la possibilité d’une percée dans la
recherche d’une solution politique au Darfour.
PEKIN - La Chine, critiquée pour son soutien
au Soudan, a annoncé jeudi la création d’un
poste de représentant spécial pour l’Afrique,
dont la tâche immédiate sera de se consacrer
au conflit du Darfour.
NEW YORK - Le secrétaire général des Nations
unies, Ban Ki-moon a exigé mercredi la
fin de bombardements aériens qui seraient effectués
par les forces gouvernementales soudanaises
au Darfour et appelé toutes les parties
à coopérer aux efforts de médiation.
WASHINGTON - Une centaine de parlementaires
américains ont vigoureusement interpellé
mercredi le président chinois Hu Jintao, pour lui
demander de prendre des mesures immédiates
visant à mettre fin au conflit du Darfour.
HARARE - Un tribunal zimbabwéen a rejeté le
recours de deux journaux indépendants contre
leur interdiction de paraître depuis quatre ans,
ont rapporté jeudi des médias locaux.
WASHINGTON - Les Etats-Unis ont «déploré»
mercredi la répression par la police zimbabwéenne
d’une manifestation d’avocats, qui protestaient
contre l’arrestation de deux d’entre eux
la semaine dernière.
HARARE - Un tribunal zimbabwéen a refusé
jeudi la remise en liberté sous caution du Britannique
Simon Mann dans l’attente de la décision
d’un recours en appel contre son extradition
vers la Guinée Equatoriale, qui veut le juger
pour un coup d’Etat déjoué en 2004.
ALGER - Le représentant personnel du secrétaire
général de l’Onu rencontrera du 16 au 19
mai des dirigeants marocains, sahraouis, mauritaniens
et algériens pour préparer les négociations
Maroc-Polisario sur le conflit du Sahara
Occidental, a déclaré jeudi le Polisario.
ALGER - Le secrétaire général du mouvement
islamique En-Naha (Renaissance) Fateh Rabiaï
a réclamé une amnistie générale pour tous les
islamistes impliqués dans le terrorisme depuis
le début des violences en Algérie en 1991-1992.
- Le président Abdelaziz Bouteflika a eu un
entretien en tête-à-tête avec le président élu du
Nigeria, Umaru Yar’Adua, a annoncé jeudi la
présidence algérienne.
PEKIN - Le ministre des Affaires étrangères ivoirien,
Youssouf Bakayoko, a été reçu jeudi par
le Premier ministre chinois Wen Jiabao à Pékin,
à l’occasion d’une visite officielle dans le
géant asiatique.
MOGADISCIO - Trois civils ont été tués jeudi
dans l’explosion d’une mine à Mogadiscio, juste
après le passage d’un convoi gouvernemental.
NAIROBI - Deux travailleurs humanitaires, un
Britannique et un Kenyan, ont été capturés par
des hommes armés au Puntland, région semiautonome
dans le Nord-Est de la Somalie.
ABUJA - La justice nigériane a temporairement
bloqué mercredi la vente de deux champs pétroliers
dont le gouvernement nigérian et le numéro
deux mondial du pétrole, l’anglo-néerlandais
Royal Dutch Shell, se disputent la propriété.
MADRID - La police espagnole a annoncé jeudi
l’interpellation en Espagne de 57 Africains, principalement
Sénégalais, responsables d’un vaste
réseau de piraterie audiovisuelle, musicale et
de contrefaçon textile.
N’DJAMENA- Après l’avoir fermement nié, le
gouvernement tchadien a reconnu que des mineurs
servaient dans les rangs de son armée,
comme la presse et les ONG témoins des combats
contre la rébellion dans l’est du pays l’affirmaient
depuis des mois.
DAKAR - La traite des femmes prend de l’ampleur
en Afrique de l’Ouest, où des milliers de
femmes sont chaque année conduites dans des
pays européens et africains pour y être exploitées
sexuellement.
BRAZZAVILLE - Un avion de transport de fabrication
russe des Forces armées congolaises
(Fac) a pris feu accidentellement jeudi sans
faire de victime sur le tarmac de l’aéroport de
Pointe-Noire (Sud-Ouest).

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